Je suis d’abord très satisfait de l’organisation, à tous égards, de ce séminaire-atelier. En tout cas, à chaque rencontre de la CONFEMEN, il y a un plus par rapport à la rencontre précédente. Comme le STP a l’habitude de demander aux correspondants nationaux leurs appréciations en fin de travaux, mon sentiment, c’est qu’il y a, à chaque fois, des améliorations qui me laissent penser que les avis que nous émettons sont réellement pris en compte. C’est donc un sentiment général de satisfaction que j’ai, aussi bien pour l’organisation, pour la préparation que pour le déroulement des travaux.
Je pense qu’il y a une dynamique qui est imprimée, par exemple sur le rôle du correspondant national qui s’affirme de plus en plus et qui doit effectivement être ce maillon-là qui fait la facilitation entre le gouvernement et la CONFEMEN. Ça permet de cette manière de faire en sorte que l’action de la CONFEMEN s’exerce réellement et ait des impacts sur les systèmes éducatifs nationaux.
J’adhère tout à fait au programme minimal commun. On ne peut pas être un espace et ne pas avoir quelque chose en commun. On est un espace parce que, certainement, il y a des dénominateurs communs qui fondent les aspirations individuelles des membres. Un programme minimum concerté, consensuel, est par conséquent une très bonne chose.