Banque Mondiale. Le système éducatif béninois. Performance et espaces d’amélioration pour la politique éducative. Washington : Banque Mondiale, janvier 2002 http://siteresources.worldbank.org/… Consulté le 13 avril 2010
Cette étude fait partie d’une série de Rapports d’Etat sur les Systèmes Educatifs Nationaux (RESEN) qui sont préparés par la Banque Mondiale en collaboration avec des équipes nationales dans un certain nombre de pays d’Afrique sub-saharienne. L’objectif immédiat de ces études est de constituer ou de conforter la base de connaissances pour le développement des politiques éducatives nationales. De façon plus large, le RESEN constitue un point de départ intéressant pour engager le dialogue avec diverses audiences concernées par la politique éducative et pour aboutir à une vision partagée du futur.
Banque Mondiale. Analyse sectorielle pour une politique éducative plus équilibrée et plus efficace. Washington : Banque Mondiale, 2009 http://www.poledakar.org/IMG/pdf/RE… Consulté le 13 avril 2010
Ce rapport est le second RESEN au Bénin et il constitue une mise à jour de celui réalisé en 2000. Cependant, il présente aussi des analyses supplémentaires, en particulier sur les programmes pour la petite enfance, sur l’enseignement technique et professionnel, sur l’enseignement supérieur et sur l’efficacité externe du secteur.
Bier Bernard. Le partenariat en question. L’expérience de l’éducation prioritaire. Paris : CNDP, mars 2001 http://www.injep.fr/IMG/pdf/partena… Consulté le 13 avril 2010
La notion de partenariat connaît aujourd’hui un succès incontestable dans le discours des politiques publiques, par exemple dans celui des politiques éducatives (éducation prioritaire, scolarisation des enfants primo-arrivants). Il participe, à l’instar d’autres termes comme projet, participation…, d’une rhétorique convenue. En fait ce terme renvoie à des réalités fort variées : quant à la nature des partenaires d’abord (institutions d’Etat, collectivités, associations, familles, entreprises … voire jeunes) ; quant aux formes du partenariat ensuite (partenariat de financement, partenariat de projet, partenariat d’action) ; quant aux logiques à l’oeuvre enfin (partenaire-adversaire ou partenaire co-équipier ?). D’où la nécessité d’une clarification.
Céreq. Le partenariat social dans la formation professionnelle initiale en France. Actes des journées des 10-12 mars 2004. http://www.cereq.fr/pdf/relief9.pdf Consulté le 21 avril 2010
L’expérience des pays de l’Union Européenne montre que la participation des partenaires sociaux dans la définition et la mise en œuvre des politiques d’enseignement et de formation professionnels est essentiel pour mettre en place et faire évoluer des systèmes toujours soumis à des tensions contradictoires dans les besoins qu’ils sont appeler à satisfaire. L’objectif de ce séminaire était donc de présenter l’expérience française pour voir dans quelle mesure celle-ci peut enrichir l’environnement des nouveaux Etats indépendants.
CONFEMEN. La dynamique partenariale : une solution pour une meilleure éducation. Dakar : CONFEMEN, octobre 2007, 196 p. Consulté le 16 avril 2010
En 1998, la CONFEMEN s’était penchée sur le thème de la dynamique partenariale lors de la 48e session ministérielle tenue à Yamoussoukro (Côte d’Ivoire). En raison du constat fait d’une centralisation excessive et d’un manque d’ouverture aux réalités du milieu, promouvoir la dynamique partenariale en vue de développer l’accès à l’école et de renforcer la qualité, la pertinence et la gestion de l’éducation s’avérait un choix stratégique. Près de 10 ans plus tard, la CONFEMEN souhaite brosser le portrait actuel de la mise en actions concrètes des résultats de cette réflexion. Ce bilan contribuerait à identifier les difficultés rencontrées et les réponses apportées pour résoudre les impasses lors de la mise en oeuvre des orientations stratégiques dégagées à Yamoussoukro. De plus, aménager un espace de dialogue sur cet aspect conduirait, dans une perspective favorable, à mettre en évidence des solutions novatrices ainsi que des mesures de régulation ayant comme optique le renforcement de la dynamique partenariale dans les systèmes éducatifs.
CONFEMEN. Dynamique partenariale et qualité de l’éducation/formation. Dakar : CONFEMEN, 2000, 63 p. L’instauration d’une dynamique partenariale permet de répondre aux contraintes internes et externes qui s’imposent dans tous les Etats : demande sociale, problèmes de financement, développement socio-économique dans un contexte de mondialisation et de globalisation. Par l’implication et la responsabilisation des divers acteurs, la dynamique partenariale permet une appropriation du système éducatif par chacun d’entre eux conduisant à une convergence d’intérêts orientée vers la réussite d’une politique éducative. En passant d’une logique individuelle à une logique collective, en participant à cette dynamique, en s’assurant des modalités démocratiques de cette métamorphose, l’éducation développe des pratiques pédagogiques adaptées aux exigences actuelles. Elle devient donc un lieu d’apprentissage de la citoyenneté. Cette nouvelle culture d’apprentissage est axée sur le vivre ensemble, le coconstruire, sur la relation, la négociation. C’est une école de tolérance où les acteurs solidaires et respectueux les uns des autres sont réunis autour d’un projet commun.
Ketele, J.-M. De, Gerard F.-M. La qualité et le pilotage du système éducatif. In : La Qualité en éducation. Pour réfléchir à la formation de demain. Québec : Presses de l’Université du Québec, 2007, pp. 19-38. http://www.fmgerard.be/textes/Pilot… Consulté le 13 avril 2010
La qualité d’un système éducatif nécessite un pilotage prenant en compte toutes les composantes du système pour garantir qu’il atteint les objectifs qui émergent à partir d’un environnement social à multiples facettes, en cohérence avec les ressources disponibles et les stratégies définies. Ce pilotage s’organise dès lors à partir d’un certain nombre de rapports entre les différentes composantes du système : la pertinence et le réalisme des objectifs par rapport aux besoins, la cohérence entre les moyens mobilisés et les objectifs, la faisabilité de ceux-ci par rapport aux moyens disponibles, l’efficacité du système dans l’atteinte de ses objectifs internes et/ou externes, la durabilité des résultats obtenus, leur efficience, l’équité du système.
Mettre l’ouverture de l’école sur son environnement au service de la réussite scolaire http://www.ac-aix-marseille.fr/waca… Consulté le 13 avril 2010
Le système éducatif doit être ouvert sur le monde professionnel afin que chaque élève ou étudiant puisse anticiper et préparer son avenir dans les meilleures conditions. Cette ouverture est une nécessité pour préparer les élèves au monde de demain. Par la meilleure connaissance des cultures du monde qu’elle favorise, elle contribue à l’apprentissage de la diversité et des valeurs de l’école laïque. L’ouverture artistique et culturelle permet aux élèves d’expérimenter des émotions liées à des rencontres d’esthétiques et de styles divers ; elle permet également de découvrir les métiers liés au monde de l’art et de la culture. Les pratiques correspondantes encouragent la créativité, l’engagement personnel et la conquête progressive de l’autonomie. Elles contribuent à réduire les inégalités culturelles, souvent très étroitement associées aux inégalités sociales. Sans ces trois ouvertures, le système éducatif perdrait un aspect essentiel de son efficacité et de sa finalité et ne saurait prétendre contribuer à la formation de futurs citoyens.
Mons Nathalie. De l’école unifiée aux écoles plurielles : évaluation internationale des politiques de différenciation et de diversification de l’offre éducative. Dijon : Université de Bourgogne, 2004
Les deux dernières décennies ont été marquées dans de nombreux pays développés et émergents par des réformes éducatives d’’envergure, autour de thématiques privilégiées : la décentralisation, la différenciation des parcours et des contenus scolaires ainsi que le libre choix de l’’école. Ces trois politiques d’’éducation qui visent à différencier et diversifier l’’offre éducative remettent en cause l’organisation traditionnelle des systèmes éducatifs modernes. Cette étude s’’attache à évaluer les effets de ces réformes sur les performances des systèmes éducatifs, grâce à une analyse économétrique fondée, d’un côté, sur les résultats de l’’évaluation internationale PISA 2000 et, de l’’autre, sur une description fine des caractéristiques institutionnelles des pays en liaison avec les trois politiques étudiées. Trente-neuf Etats et communautés politiques sont ainsi intégrés dans cette étude.
Mons Nathalie. Les effets des réformes de décentralisation sur les performances des élèves. Conférence ESEN, Poitiers, 19 octobre 2005, durée 2h 05 mn http://www.esen.education.fr/fr/res… Consulté le 13 avril 2010
Entretien audio avec Nathalie Mons, maître de conférences à l’université Grenoble-II et chercheuse en sciences de l’éducation
Naji, Abdennasser. Rapport sur la qualité du système d’éducation et de formation au Maroc, Amaquen, 2008 http://www.amaquen.org/Rapport_amaq… Consulté le 13 avril 2010
L’évaluation de la qualité des systèmes éducatifs est une pratique aujourd’hui très répandue dans le monde, et depuis qu’elle est utilisée par les organismes internationaux comme l’OCDE, l’UE et l’UNESCO elle incite beaucoup de pays à faire de même dans le but de disposer d’informations fiables sur leurs systèmes éducatifs leur permettant de prendre les bonnes décisions pour en améliorer les performances. Le présent rapport s’inscrit dans cette optique et a pour ambition de lancer un débat constructif sur la qualité du système éducatif marocain basé sur des données et des statistiques relevant des faits réels et non pas nourri par des impressions subjectives. Il concrétise également la mission de l’AMAQUEN de contribuer à l’amélioration de la qualité du système d’éducation et de formation.
Oujour Hssain. Le partenariat associatif, pierre angulaire des programmes de l’éducation non formelle au Maroc. In : Colloque international : un seul monde, une seule école ? Les modèles scolaires à l’épreuve de la mondialisation, 12-14 mars 2009 http://www.ciep.fr/ries/colloque-20… Consulté le 13 avril 2010
A la périphérie du système scolaire et de son éducation formelle se situe un nombre considérable de personnes dont l’éducation et la formation restent à initier ou à promouvoir. Cette population est composite en termes de démographie, d’appartenance géographique et sociale, de niveau d’instruction, de choix professionnel, de manière d’être, de moyens, d’ambition, etc. Elle manifeste en conséquence des attentes d’une telle diversité que leur satisfaction ne peut être possible qu’au travers d’une perspective plurielle d’offre éducative en termes aussi bien de programmes formatifs, de logistique, de partenariat, de ressources humaines, de structures spatio-temporelles, de stratégies de communication, de motivation, de suivi-évaluation, etc. Pour traiter une problématique aussi complexe qu’urgente, le Maroc a mis en oeuvre des structures opérationnelles, la première d’entre elles étant la Direction de l’éducation non formelle (DENF), créée au sein du ministère de l’Éducation nationale en 1998, pour ouvrir ces nouveaux horizons, optimiser l’apport partenarial, se doter d’une stratégie d’action, de programmes adaptés, identifier et canaliser les ressources dédiées aux chantiers ciblés, renforcer la mise à niveau initiale et évolutive de ses cadres ainsi que les mécanismes de suivi et de gestion des programmes.
Steinberg Pascale. La dynamique partenariale entre le monde scolaire et extrascolaire. Mons : 1994. 44 p.
Ce guide qui restitue une recherche-action sur 2 quartiers de Bruxelles (Schaerbeek et Anderlecht) de sa mise en oeuvre à son analyse de la collaboration entre acteurs scolaires et extrascolaires dans les deux quartiers étudiés, vise à permettre aux acteurs du terrain de développer une dynamique partenariale entre le monde scolaire et extrascolaire.
Unterhalter Elaine. Partenariat, participation et pouvoir pour l’égalité des sexes en éducation, janvier 2010 http://www.e4conference.org/wp-cont… Consulté le 13 avril 2010
Analyse situationnelle préparée pour la Conférence de l’Initiative des Nations Unies pour l’Education des Filles : éducation pour l’égalité des sexes, engagement pour l’équité. Ce document explore les questions autour du travail de partenariats multiples visant à lutter contre l’inégalité entre les sexes dans l’éducation. Il met l’accent sur les difficultés ou les négligences dans la décennie qui vient de s’écouler, et utilise les enseignements tirés pour montrer comment le très peu d’attention accordée à l’omniprésence du pouvoir inégal a fait que les importants partenariats établis ne sont pas encore à même d’atteindre leurs objectifs. Les inégalités entre les sexes sont contextualisées dans le réseau complexe des inégalités mondiales liées aux difficultés de l’instant présent, marqué par la pauvreté, les conflits et les menaces associées aux changements climatiques et a la récession économique.
Zay Danielle, Peretti André. Enseignants et partenaires de l’école. Démarches et instruments pour travailler ensemble. Paris : INRP, 1994, 192 p. 2-7342-0363-4 Un livre qui vise à articuler, dans un projet éducatif, les apports de multiples professionnels et, en particulier, ceux des milieux artistiques et culturels. Des outils correspondant à deux axes de développement sont proposés : des instruments facilitant la mise en place d’une situation éducative ou de formation en partenariat ; des instruments de conduite et d’évaluation des actions. »