Paris (France), le 17 octobre 2009
Du 15 au 17 octobre 2009, Paris a accueilli la réunion du Bureau de la Conférence des ministres de l’Éducation des pays ayant le français en partage (CONFEMEN).
Réunis du 15 au 17 octobre 2009 au Foyer des Lycéennes, dans le XVIe arrondissement de Paris (France), les ministres de l’Education des 16 Etats et gouvernements membres du Bureau de la Conférence des ministres de l’Éducation des pays ayant le français en partage (CONFEMEN), ont adopté plusieurs documents d’importance pour la vie de l’institution et pris des décisions déterminantes dans le cadre du 50e anniversaire prévu en 2010 au Sénégal.
Des activités du Biennum 2009-2010
Outre le rapport d’activités du Biennum 2009-2010, le Bureau a approuvé et adopté les propositions de la Commission administrative et financière (CAF), en l’occurrence le rapport des commissaires aux comptes et donné le quitus à la Secrétaire générale pour l’exercice budgétaire passé.
Le Bureau a également félicité et encouragé le Secrétariat technique permanent (STP) pour les résultats des évaluations du Programme d’analyse des systèmes éducatifs de la CONFEMEN (PASEC VII et VIII) ainsi que le succès des réunions-débats organisés en novembre 2008 à Bujumbura (Burundi) et mai 2009 à Dakar (Sénégal).
Du cinquantenaire de la CONFEMEN
Inscrivant leur action dans la logique de ce qui a été tracé à Vientiane (République démocratique et populaire lao) par les correspondants nationaux lors de leur séminaire-atelier, les ministres du Bureau ont adopté le programme d’activités 2010 ainsi que le programme des manifestations et leur budget de mise en œuvre. Le Bureau a rendu public le logo du 50e anniversaire de la CONFEMEN et donné le coup d’envoi des activités commémoratives par la tenue d’une conférence-débat consacrée à la qualité de l’éducation et animée par Emmanuelle Bastide de Radio France internationale.
La table ronde sur le thème : « La qualité de l’éducation : quelles mesures et quels résultats ? » marque ainsi le début de la rétrospective demandée par la 53e session ministérielle. Il s’agira d’apprécier ce demi-siècle au service de l’éducation, notamment en s’interrogeant sur les choix stratégiques et en envisageant éventuellement des perspectives nouvelles. Des enjeux importants pour une institution qui va fêter ses 50 ans d’existence — un âge de maturité — en pleine dynamique de relance.
Autre aspect non moins important, les ministres ont examiné les modalités de recrutement du prochain Secrétaire général qui doit être élu lors de la 54e session ministérielle du Sénégal.