Ce séminaire-atelier a été mené de main de maître par un président qui a su effectivement cadrer les débats de manière assez efficace, d’ailleurs avec des conclusions qui sont tout à fait dans l’axe des stratégies qu’on souhaitait développer, notamment sur la qualité de l’éducation, je dirais, sur l’organisation de la réunion du Bureau qui aura lieu à Paris et bien évidemment la préparation du cinquantenaire qui aura lieu au Sénégal. Tout ça a été mené, également de main de maître, par un Secrétariat technique permanent qui a encore montré son efficacité, je dirais presque légendaire, et qui nous a permis d’adopter le programme d’activité 2010. Donc, satisfaction vraiment générale à tous les niveaux, y compris bien évidemment l’accueil de nos collègues laotiens.
Le programme est assez vaste, moi ce que je retiens, c’est que les facteurs de qualité ayant été identifiés, ils seront analysés de manière plus spécifique. Ce qui nous intéresse, c’est surtout de faire un suivi de ces facteurs afin de voir si les tendances sont favorables et éventuellement si elles le sont, d’essayer de déterminer ce qui pêche dans les politiques sectorielles, notamment l’éducation de base. Je pense que c’est important dans ce monde qui se veut essentiellement anglophone, de montrer que nous existons. Nous avons pour cela une expertise qui n’est plus à démontrer je pense, puisque nos amis anglophones font appel souvent à notre institution dans le cadre d’un partage d’expériences. Donc, ça paraît nécessaire, vital et important d’impliquer effectivement les ministres dans la défense des intérêts de la Francophonie et bien évidemment dans la mise en avant de notre expertise qui est de qualité, je précise, et qui fédère tous les pays sur les mêmes thèmes, les mêmes thématiques de développement. Je disais dans une de mes interventions lors des travaux que l’éducation, oui, mais l’éducation pour le développement.