Mes impressions sont excellentes. D’abord, j’ai été impressionné par la qualité de l’accueil du comité national lao. Leur accueil est excellent.
Deuxième impression, c’est la qualité du travail qui a été fait par ceux qui ont préparé les documents et là je dois féliciter le STP et à sa tête, la Secrétaire générale, Mme Adiza HIMA, pour la qualité des documents de travail qui nous ont été fournis. Grâce à ces documents de travail, nous avons fait un excellent travail et nous sommes arrivés à de très bons résultats, tant sur le plan quantitatif que sur le plan qualitatif.
Nous avons constaté que nous nous trouvons à un carrefour où il faut faire des choix sur l’avenir de la CONFEMEN. Il faut développer cette institution pour le bien de l’éducation. Et là, je dois dire à propos de l’éducation que c’est le meilleur investissement pour tous les pays, particulièrement pour nos pays du Sud, en voie de développement.
Nous ne pouvons pas développer nos pays sans développer l’éducation. Et tous les malheurs que connaissent nos pays, en commençant l’absence de paix, l’ignorance, la pauvreté, trouvent leur origine dans un déficit d’éducation. Si nous parvenons à développer l’éducation, je pense que nous aurons déjà comblé un déficit important et amorcé un développement durable de nos pays.
À mon avis, le programme minimal commun doit se baser sur un objectif. Cet objectif, c’est de sensibiliser tous les responsables, en commençant par les ministres de l’Éducation pour qu’ils sensibilisent à leur tour les chefs d’État sur le fait que l’éducation constitue le meilleur investissement pour nos pays. Je pense que grâce au programme qui a été élaboré et adopté au cours de ce séminaire-atelier, nous pouvons mobiliser tous les acteurs de l’éducation à l’occasion de ce 50e anniversaire. Nous voulons également que cet anniversaire soit célébré avec le plus grand éclat possible pour faire comprendre à tout le monde l’importance de l’éducation, mais pour que chacun comprenne que la CONFEMEN est la meilleure plateforme qu’il faut dans l’espace francophone.