Mme Rakiatou Zada NIANDOU MAÏGUIZO, correspondante nationale de la CONFEMEN du Niger
16 août 2012
Madame Salamatou SINGARE MAÏGA, correspondante nationale de la CONFEMEN au Mali
16 août 2012

M. Gnissa Muller GANOU, correspondant national de la CONFEMEN au Burkina Faso

Le concours des 10 mots de la francophonie est une bonne chose, en ce sens qu’il participe à la consolidation de l’apprentissage de la langue française, cultive l’esprit de créativité des élèves et leur donne le sentiment  d’appartenir à une grande famille linguistique. Ce concours a donné l’occasion aux élèves du primaire et du secondaire d’affirmer leur appartenance à la communauté francophone. Il a permis à plusieurs milliers d’élèves  de proposer leurs visions du monde de demain à travers les œuvres présentées. Le fait qu’il s’adresse aux jeunes scolaires est une bonne initiative et permet de mesurer leurs aspirations réelles sur l’avenir de la planète.  Toute chose qui pourrait les guider à l’avenir, eux qui sont les hommes et les femmes adultes de demain. Et l’adhésion massive constatée à l’organisation de ce concours, traduit leur espérance.

Le concours des 10 mots de la francophonie est une belle vitrine de visibilité de la CONFEMEN. Au niveau institutionnel, il permet l’implication des différents acteurs de l’éducation et contribue à mieux faire connaître la  CONFEMEN et les différentes missions qui lui sont assignées. En témoigne la présidence de la cérémonie de remise de prix de l’édition 2009 par Madame Marie-Odile BONKOUNGOU, ministre de l’Enseignement de base  et de l’alphabétisation, et la présence des plus hautes autorités du pays et des ambassadeurs des pays membres de l’espace francophone résidents au Burkina. Tout s’est bien passé pour l’organisation de la première édition du Concours  des 10 mots de la francophonie 2009. L’engouement et l’intérêt suscités par ce Concours auprès des différents établissements scolaires ont convaincu les autorités de l’Éducation de la nécessité de le pérenniser. Toutefois, des difficultés ont été relevées. Des  difficultés dues essentiellement au délai court qui n’a pas permis de mobiliser conséquemment les appuis nécessaires d’acteurs clés, notamment les autorités en charge de l’Education et les institutions placées sous tutelle de la Francophonie.