Avant tout, je voudrais féliciter la Secrétaire générale de la CONFEMEN, Mme Adiza HIMA, qui a eu l’initiative de proposer Vientiane pour accueillir ce séminaire-atelier des correspondantes et correspondants nationaux de la CONFEMEN et qui a beaucoup fait pour qu’il en soit ainsi. Nous nous sommes rendus compte que la tenue de ce séminaire-atelier nous a permis de nous ouvrir à l’opinion publique, par le biais de la radio, de la télévision et de la presse. En plus, tout le monde parle aujourd’hui de la CONFEMEN, mais également de l’enseignement du français et en français. C’est un objectif, parmi tant d’autres, qu’on a atteint avec cet atelier.
Pour moi, c’est une très bonne expérience, car c’est ma deuxième année à la CONFEMEN. J’ai pu tirer la conclusion que la CONFEMEN est une très bonne et solide institution, une source inépuisable d’expériences, d’études, de recherches sur le renforcement de la qualité de l’éducation et aussi du système éducatif, tant en matière de conception, de mise en œuvre, de suivi et d’évaluation de la politique éducative qu’en terme de stratégies éducatives. Nous sommes également très ravis de découvrir les trois grands axes du plan de relance de la CONFEMEN à travers le programme d’activité que nous venons d’adopter. Cela va certainement nous inspirer, au niveau de la RDP lao.
C’est une très belle occasion pour nous aussi en tant que ministère de l’Éducation, d’apporter notre contribution à la Francophonie. Nous allons nous inspirer, comme je le disais, de l’agenda de la préparation du 50e anniversaire dans le programme d’activité. Cela nous permet d’avoir une idée claire de la façon d’organiser un programme minimum de diffusion d’informations afin d’obtenir l’adhésion et la compréhension de notre opinion publique, mais aussi de sensibiliser les autorités sur cette solidarité de la famille francophone dans le cadre de la CONFEMEN.